LE LIVRE
« Ô contemporain, m’as-tu détrôné de mon songe ? M’as-tu moi aussi rendu esclave de tout ton fourbi d’acier et de pétrole et d’arme absolue ? » Poète et métaphysicien, auteur de Desesperanto et d’Une Rose dans le crâne de Descartes (Christian Bourgois éd.), Patrice Covo n’avait rien publié depuis vingt ans. Dans ce livre, composé d’aphorismes et de textes lyriques, il entreprend une véritable quête d’identité et trace en creux le portrait d’une époque qui refuse tout art et toute philosophie. Cet essai de gai désespoir est suivi de la correspondance entre E.M. Cioran et l’auteur.
L’AUTEUR
« Né en 1943, Patrice Covo a fait des études médiocres dans un lycée parisien. À l’âge où les autres bachotaient, il regardait le mur à Londres. Covo avait avant tout une vocation contemplative, qu’il transforma en dérive littéraire », écrit l’auteur de lui-même, avant d’ajouter : « J’ai ma prochaine incarnation aux trousses. »
LA PRESSE
« Plein d’imagination, Monsieur Covo est en possession d’un style remarquable. »
Henri Michaux.
« Vous, l’esprit du temps qui avez donné l’ordre aux mille noirs fantômes de résister aux malheurs. »
Dominique de Roux
« L’espèce de révélation dont vous avez été le bénéficiaire… »
Gabriel Marcel.
« Ce poète écrit des fulgurances. »
E.M. Cioran.
« Covo donne le vertige… »
André Clavel, Les Nouvelles littéraires.
CRééES EN 1998, LES ÉDITIONS EXILS SE VEULENT UN LIEU D’ALERTE LITTÉRAIRE, ARTISTIQUE ET POLITIQUE. AFIN QUE LA DISTANCE QUI SÉPARE CHACUN DE LUI-MÊME, DE L’AUTRE ET DE LA CITÉ S’EFFACE PAR LES LIVRES.