LE LIVRE
« L’art de Martha le Parc défie toutes les catégories traditionnellement admises. Ses œuvres textiles, dont les premières remontent à la fin des années 1960, se situent la croisée des chemins, celui de l’art appliqué et de l’art contemporain, de la mode et de l’artisanat. Cette singularité est revendiquée par l’artiste dont les déclarations, s’inscrivant dans la lignée de celles du Bauhaus, militent en faveur d’une réconciliation de l’art et de l’artisanat. Cela correspond aussi au désir profond qu’éprouve Martha Le Parc de rendre hommage à “tous ces êtres ignorés, humbles et silencieux” qui, depuis les âges les plus lointains, ont travaillé anonymement à l’élaboration de chefs-d’œuvre. » Extrait de la préface. Pour la première fois, un livre est consacré à Martha Le Parc, artiste majeure formée à l’École des beaux-arts de Buenos Aires, qui a travaillé aussi bien pour la mode que pour le théâtre. Son œuvre, souvent exposée en Amérique latine, a fait l’objet d’une rétrospective en 2003 au musée d’Art et d’Industrie de Saint-Étienne.
Un tirage de tête de ce livre propose un multiple conçu et réalisé conjointement par Julio et Martha Le Parc, chaque exemplaire signé par les artistes et numéroté de 1/40 à 40/40.
LA PRESSE
« Martha Le Parc ne peint pas, elle “bâtit”, au sens de coudre. Elle travaille les variations optiques comme Julio Le Parc, mais les combinaisons chromatiques de Martha rappellent davantage Paul Klee et les Nymphéas du Monet »
Claire Fourier, blog.
160 PAGES
23 × 29 CM
août 2018
ISBN 978-2-912969-89-7
25 EUROS
Préface de Domitille d’Orgeval-Azzi
(en coédition avec les éditions du Canoë)
CRééES EN 1998, LES ÉDITIONS EXILS SE VEULENT UN LIEU D’ALERTE LITTÉRAIRE, ARTISTIQUE ET POLITIQUE. AFIN QUE LA DISTANCE QUI SÉPARE CHACUN DE LUI-MÊME, DE L’AUTRE ET DE LA CITÉ S’EFFACE PAR LES LIVRES.